Autres collaborations artistiques

Création de Karine Piquion et Bruno Bouché

pour l’ouverture du TEDx Women Champs-Elysées

 

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Dimanche 31 mai de 15h00 à 19h30 au Théâtre du Gymnase Marie-Bell, à Paris

UNE FEMME (spectacle d’ouverture- Création originale)

Avec la généreuse participation de
Danseurs: Marion Barbeau & Aurélien Houette
Création, mise en scène, paroles & Chant: Karine Piquion
Création chorégraphique: Bruno Bouché
Musique originale : François Piquion
Création lumières: Tom Klefstad
Diffusion : Sylvain Dreyfuss

Chorégraphie « Une Danse »

En 2013, Karine Piquion écrit et interprète les paroles de la dernière pièce de Bruno Bouché, danseur de l’Opéra National de Paris et Directeur Artistique d’Incidence Chorégraphique, « Une Danse », sur une musique de Frédéric Bouchain. Ce spectacle, interprété par  Bruno Bouché, Aurélien Houette, Karine Piquion et  Frédéric Bouchain, a été créé pour elle. On la retrouve refaisant le lien avec un amour premier, celui de la danse sous la forme de premiers pas d’une danse-théâtre qui trouvera son point d’orgue par cette belle chanson, ce rêve déchu, cette danse qu’elle ne « dansera jamais ».

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Chorégraphie « Vivre avec »

En 2002, sur un texte de Bruno et Ghislaine Reichert et une musique de François Piquion, elle interprétera et enregistrera la bande son du spectacle   »Vivre Avec » créé pour la danseuse Ghislaine Reichert.

Chorégraphie « Ce qui reste »

A l’occasion d’une des premières créations de Bruno Bouché, elle chantera, en 2000, « Ce qui Reste »,  texte poétique de Bruno sur une musique de François Piquion, dans la chorégraphie du même nom.

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Coté danse: Un rêve inassouvi…

Karine Piquion, née Niclas, vit dans une famille où l’art et le spectacle vivant est la pierre angulaire de tout. Sa mère crée deux festivals: le premier avec Michel Caserta « La Biennale Nationale de Danse du Val de Marne »sous l’impulsion de Michel Germa et le second, « Les Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis ».

Son père est, à l’époque, danseur dans la compagnie contemporaine de Michel Caserta. Il dansera également avec le Théâtre du Silence, groupe de danseurs de l’Opéra National de Paris fondé par Jacques Garnier.

Karine passe la plupart de son temps dans les salles de spectacles et dans les loges des théâtres et grandit dans une maison où circulent ceux qui deviendront parmi les plus grands noms du spectacle vivant aujourd’hui et notamment de la danse contemporaine et classique Pina Baush, Jan Fabre, Merce Cunningham, Robert Wilson, Lucinda Childs, William Forsythe, Alwin Nicholais, Carolyn Carlson, Philippe Decoufflé, Jeanine Charrat, Jean Babilé, Jean Guizerix, Wilfrid Piollet, Dominique et Françoise Dupuy, Dominique Bagouet, Daniel Larrieu, Angelin Preljocaj, Maguy Marin, Mathilde Monnier, Karine Saporta, Stephen Petronio, Joelle Bouvier et Régis Obadia, Michel Caserta par exemple, des hommes de lettres, poètes, philosophes, metteurs en scène, cinéastes, Joël Jouanneau, Ismaïl Kadaré, Paul Virilio, Jean Bollack, Hubert Haddad, Rachid Boudgedra, Bernard Noël, Jean-Paul Dollé, Maurice Godelier, Philippe Adrien, Jacques Lassalle, Raoul Sangla ou peintres Ernest Pignon-Ernest, Stéphane Cardon, Raymond Moretti, Claude Lepoitevin pour n’en citer que quelques-uns.

Ses premiers pas sur scène, c’est d’abord par la danse contemporaine qu’elle les fera. Très jeune, elle est passionnée de danse et souhaite devenir danseuse de métier après avoir vu un ballet de Michel Caserta « Visage de Sable ». Elle dansera un peu plus tard avec la compagnie professionnelle de Serge Keuten notamment au Théâtre de la Bastille à Paris et sera vivement remarquée. La vie cependant lui fait faire un choix qui l’éloigne de la danse et l’oriente vers la musique à La Maîtrise de Radio France. Remarquée très tôt par la forte personnalité et la qualité de sa voix. Elle s’y forge une solide technique vocale et y fait ses premières expériences de scène comme chanteuse dans quelques beaux lieux de la musique (la Salle Pleyel, le Théâtre des Champs-Élysées, la Maison de la Radio,Scène Nationale de Dieppe, Opéra de Genève…) autour de solistes de renoms tels que José Van Dam, Jessie Norman… et dirigée par de grands chefs de chœurs tels que Marek Janovski, Sir Colin Davis… elle enregistrera aussi dans le fameux Studio 102, de la Maison de la Radio une magnifique œuvre de Ianis Xénaquis sous la direction de Michel Corboz et des Lieds de Franz Schubert sous la direction de Michel Laser de Rosel…Depuis sa vie sur scène se fait par la musique et le chant.

Grâce à son ami Bruno Bouché, danseur de l’Opéra National de Paris, elle conserve toutefois un pied avec la scène chorégraphique et collabore à plusieurs reprises, à sa demande, avec Incidence Chorégraphique qu’elle fonde avec Bruno Bouché il y a plus de 10 ans via l’Art du sablier – Arts, Cultures, Sociétés. Il assure aujourd’hui la Direction Artistique d’Incidence Chorégraphique et fait tourner ses pièces et ceux des chorégraphes qu’il promeut dans le monde entier.